mardi 29 novembre 2016

Il faut sauver Super Victor la mascotte


Depuis la naissance de Super Victor, le 18 novembre 2014, je m'étais dit qu'il y avait un filon marketing à exploiter et je m'étais dépêché de vite créer un blog dédié à la nouvelle mascotte et qu'en 2 ou 3 articles sur le sujet, j'allais voir mon blog explosé suite aux requêtes google  et en comptant sur une campagne promotionnelle des équipes commerciales de l'UEFA pour promouvoir la mascotte Super Victor  et ainsi faire exploser les ventes des différents gadgets proposés aux supporters de tous les pays. Si on se fie à  d'autres opérations commerciales du même genre, on pouvait même envisager des recettes  en centaines de milliers d'euros, pour le plus grand bonheur des commerçants.

Le problème, c'est qu'après l'annonce de la mascotte en 2014, ce fut un flop total. Pendant pratiquement 2 ans,  l'équipe chargée de la promotion de la mascotte semble avoir pris des vacances tous frais payés. De temps en temps, on nous annonçait un micro événement avec une apparition furtive de Super Victor qui donnait l'impression de déranger.
Cet article devait voir le jour  en juin et en fin de compte, il ne fut jamais publié.
Il n'y avait plus rien à sauver. Je n'ose même pas imaginer combien ont été déboursés pour le lancement de cette opération marketing associée au Championnat d'Europe des Nations qui avait deux objectifs: intéresser le public à la compétition et permettre la vente de gadgets. On peut sans risque de se tromper que la note de 0/20 est une note méritée. Il n'y avait tellement rien que même les médias s'en sont désintéressés alors le public n'en parlons pas. Dans les réseaux sociaux, la page facebook associée à Super Victor fait pitié à voir, lors des matches, Supervictor était nulle part.
Le plus étonnant est qu'on a eu le droit à aucun bilan chiffré de cette opération commerciale qui donne l'impression de n'avoir pas été menée de manière professionnelle.

Et dire que cette mascotte devait faire oublier une autre qui avait rire la planète. Résultat, on a fini par regretter notre footix national.


ça aurait été bien que les instances de l'UEFA fassent leur Méa Culpa et reconnaissent qu'elles se sont trompées sur toute la ligne même sur le choix du nom qui évoque en Grande Bretagne un jouet pour adulte.




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